L'ancrage des traditions Yanice Mathieu
Adama a 36 ans. Il a grandi en Côte d’Ivoire, plus précisément à Assikoi, une petite ville proche d’Abidjan où il habite actuellement.
Assikoi, il n’y a pas énormément de chose à faire dans cette localité de 10 000 habitants, la seule animation qu’il aimait, c’était quand ces voisins se réunissaient pour jouer de la musique traditionnelle et il apprit à en faire grâce à un djembé.
Lorsqu’il part pour Abidjan faire ses études à 18 ans, il est impressionné par le contraste avec son ancienne ville. Ici, tout est plus moderne, avec une légère touche occidentale sans perdre le côté traditionnel, ces racines. Il perçoit enfin l’évolution. Il se rend compte qu’il existe tellement de différences dans son pays, et que toutes ces différences sont intéressantes.
Adama est alors épanoui, il rend régulièrement visite à sa famille et ses amis restés à Assikoi, il tire de ses moments une grande source d’inspiration. Il pratique toujours du djembé mais l’utilise autrement grâce aux nouvelles technologies qui sont à sa portée à Abidjan. Il compose ses propres musiques grâce à un ordinateur, mais elles ne sont pas dénuées d’âme grâce à toutes ses soirées passées à jouer dans son village.
Il se rend également compte que la musique, grâce à internet, permet de s’intégrer encore plus dans le monde.
Assikoi, il n’y a pas énormément de chose à faire dans cette localité de 10 000 habitants, la seule animation qu’il aimait, c’était quand ces voisins se réunissaient pour jouer de la musique traditionnelle et il apprit à en faire grâce à un djembé.
Lorsqu’il part pour Abidjan faire ses études à 18 ans, il est impressionné par le contraste avec son ancienne ville. Ici, tout est plus moderne, avec une légère touche occidentale sans perdre le côté traditionnel, ces racines. Il perçoit enfin l’évolution. Il se rend compte qu’il existe tellement de différences dans son pays, et que toutes ces différences sont intéressantes.
Adama est alors épanoui, il rend régulièrement visite à sa famille et ses amis restés à Assikoi, il tire de ses moments une grande source d’inspiration. Il pratique toujours du djembé mais l’utilise autrement grâce aux nouvelles technologies qui sont à sa portée à Abidjan. Il compose ses propres musiques grâce à un ordinateur, mais elles ne sont pas dénuées d’âme grâce à toutes ses soirées passées à jouer dans son village.
Il se rend également compte que la musique, grâce à internet, permet de s’intégrer encore plus dans le monde.